Éditeur(s) : Ankama 2011-2014
Auteurs : Ducoudray et Singelin
T1 : Lorsqu'il arrive dans ce quartier de Baltimore où son père vient de reprendre une épicerie, Elliott se demande s'il saura s'y faire de nouveaux amis... Mais il s'adapte à son nouvel environnement bien plus vite qu'il ne s'y attendait et se noue avec Sixteen et son gang de gamins dealers de dope ; Washington, un marine désespéré par son retour d'Irak ; ou encore Ellisone, l'ancien caïd du quartier qui cherche à reprendre ses droits sur son territoire�... Un univers teinté de réalisme social, violent et cru, qui relate le quotidien de ceux que l'on appelle les « cornerboys ».
T2 : Rien ne va plus à la Grocery ! Accusé du meurtre du rabbi Finkelstein, l'épicier M. Friedman fait ses premiers pas mouvementés en prison. Pendant ce temps, son jeune fils Elliott est nommé gérant de la Grocery par le sanglant Ellisone, celui-là même qui vient d'envoyer son père en prison !
Qui est ce mystérieux personnage arborant à l?intérieur de sa lèvre tatouée les lettres NLR, qui vient de racheter un quartier entier de Baltimore ?
Comment Washington va-t-il réussir à continuer l'oeuvre charitable de Marnie Adams, alors que celle-ci demeure introuvable ?
Et surtout : qui conduit cette étrange camionnette de crème glacée qui coupe les têtes comme on distribue des esquimaux givrés ?
Les gangs s'entredéchirent, emportant nos jeunes héros avec eux ? Non décidemment, rien ne va plus à la Grocery.
T3 : Pendant que le père d'Elliott croupit toujours en prison, la grocery s'est transformée en véritable Q.G. pour le trafic de drogue d'Ellis One, devenant alors la cible de dealers prêts à tout pour éliminer la concurrence. Une autre menace plane sur l'épicerie des Friedman : Sixteen, Vickie et les homeboys veulent la peau d'Ellis One, qu�ils jugent responsable de tous leurs malheurs. Du côté du R.O.H., la bataille contre les bulldozers continue, mais la situation va prendre un tour tragique et imprévu qui forcera Washington à se remettre en question. Au milieu de toute cette confusion, une seule certitude règne : à la guerre comme à la guerre !