L'Histoire a souvent été écrite par des femmes. Celles dont Jean des Cars a choisi de raconter le destin ont bouleversé l'histoire de l'Europe.
Leur existence conjugue grandeur et tragédie, expliquant la fascination qu'elles suscitent toujours.
Les douze souveraines dont Jean des Cars a choisi de raconter les vies sont autant de mythes qui enflamment les mémoires et parlent à la
postérité par leur destinée et leur contribution décisive à l'histoire du monde : Catherine de Médicis, Elizabeth Ire d'Angleterre, Christine de
Suède, Marie-Thérèse d'Autriche, Catherine II de Russie, Marie-Antoinette, Victoria, Eugénie, Sissi, l'impératrice Zita, Astrid reine des Belges et
Elizabeth II.
Leurs noms sont ancrés dans nos sensibilités. Leurs vies, longues ou brèves, et celles des peuples qu'elles conduisaient ou incarnaient furent
jalonnées de grandeurs et de tragédies, d'intrigues de palais, de bonheurs et de souffrances qui expliquent la fascination qu'elles n'ont cessé
de susciter.
Reines en titre placées à la tête de l'État, épouses de monarques ou régentes, elles ont marqué leurs époques, forgé des ententes, ourdi des
complots, affronté des luttes successorales, déclenché des guerres, recherché ou obtenu la paix, rayonné par leur action, leur intelligence ou
simplement leur charme qui est une valeur essentielle de la monarchie. Mariées ou non, de moeurs sages ou amoureuses aux liaisons connues,
voire supposées, certaines furent plus que reines par l'étendue et la diversité des territoires relevant de leurs couronnes.
Sans elles, notre histoire eût été différente et, osons le prétendre, moins passionnante.
Jean des Cars s'est fait l'historien des grandes dynasties d'Europe et de leurs plus illustres représentants.
Parmi ses grands succès : Eugénie, la dernière impératrice ; Sissi ou la Fatalité ; La Saga des Romanov ; La Saga des Habsbourg et La Saga
des Windsor.