Thérapies brèves : situations cliniques
Si les thérapies brèves sont une méthode alternative aux approches traditionnelles et permettent une solution rapide pour un certain nombre de troubles psychologiques, elles bouleversent toutefois la relation d'aide dans le domaine psychologique, médical et psychiatrique mais aussi social. C'est pourquoi il est nécessaire d'apporter au thérapeute un éclairage clinique approfondi lui permettant de mieux maîtriser toutes les dimensions de ces thérapies. Parleur approche très pragmatique de ces différentes situations, les auteurs répondent aux questions que se posent les thérapeutes. Une thérapie brève peut-elle durablement aider un patient présentant un trouble anxieux ou une dépression ? Comment l'utilisation de ses ressources personnelles, entre autres hypnotiques, permet-elle au patient d'observer si rapidement ses progrès " naturels " ? En alcoologie un protocole progressif peut-il être mis en place avec une thérapie orientée vers les solutions. Comment utiliser la thérapie brève sous contrainte dans un service fermé ou avec des patients psychotiques ? Comment travailler en psychiatrie de liaison dans un hôpital - ou dans un réseau de soins ou un réseau social - avec les outils de résolution de problèmes de l'Ecole de Palo Alto ? Comment le HTSMA combine-t-il l'EMDR de Shapiro, les thérapies brèves et l'hypnose éricksonienne ? Application dans le traitement de la douleur. Cet ouvrage s'adresse aux psychiatres, psychologues et psychothérapeutes. Il intéressera également les équipes soignantes et les travailleurs sociaux.
SOMMAIRE :
Les pensées qui angoissent : comment les travailler
Schémas thérapeutiques des troubles anxieux : phobis, troubles obsessionnels compulsifs, hypochondries, etc
Hypnose et thérapie stratégique de la dépression majeure
Alcoologie : méthode et évaluation du modèle solutionniste de Bruges
Prise en charge de la douleur par les mouvements alternatifs : l'HTSMA dans la fibromyalgie
Thérapies brèves en psychiatrie de liaison
Thérapies brèves sous contrainte chez les patients psychotiques