Éditeur(s) : Bamboo
Auteurs : Ernest et Zidrou
Date : 2012-2016
Auteurs : Ernest et Zidrou
Date : 2012-2016
Bonjour, je m'appelle Zita. Mais ici, à l'hôpital La Gaufre, tout le monde m'appelle "Boule à Zéro". Je souffre d'une espèce de leucémie qui semble trouver mon organisme particulièrement à son goût. À cause de tous les traitements que j'ai subis, je n'ai plus que quelques touffes de poils sur le caillou. Alors, je préfère encore me raser la boule à zéro. D'où mon surnom...
Boule à zéro invite à suivre les pas de Zita Sayyah, une jeune fille qui vit depuis près de neuf ans dans la chambre 612 de l’hôpital « La Gaufre ». La petite patiente d’origine marocaine est le boute-en-train du service et son côté espiègle séduit dès les premières planches. L’univers de celle que l’on surnomme « Boule à zéro » depuis que les nombreuses séances de chimiothérapie ont eu raison de sa chevelure, n’a pourtant rien de réjouissant. Ses conversations avec Madame La Mort sont d’ailleurs là pour le rappeler. Les auteurs ont néanmoins choisi de ne pas sombrer dans le pathos en proposant une galerie de personnages délicieusement attachants. De la complicité des membres du personnel soignant aux surnoms amusants des autres gamins hospitalisés (Wilfrite le grand brûlé, Puzzle pour la fille aux os brisés, Supermalade, 90% coton, …, tout est fait pour que le lecteur se sente un peu plus à l’aise dans un environnement qu’il imaginait probablement moins accueillant.
Boule à zéro invite à suivre les pas de Zita Sayyah, une jeune fille qui vit depuis près de neuf ans dans la chambre 612 de l’hôpital « La Gaufre ». La petite patiente d’origine marocaine est le boute-en-train du service et son côté espiègle séduit dès les premières planches. L’univers de celle que l’on surnomme « Boule à zéro » depuis que les nombreuses séances de chimiothérapie ont eu raison de sa chevelure, n’a pourtant rien de réjouissant. Ses conversations avec Madame La Mort sont d’ailleurs là pour le rappeler. Les auteurs ont néanmoins choisi de ne pas sombrer dans le pathos en proposant une galerie de personnages délicieusement attachants. De la complicité des membres du personnel soignant aux surnoms amusants des autres gamins hospitalisés (Wilfrite le grand brûlé, Puzzle pour la fille aux os brisés, Supermalade, 90% coton, …, tout est fait pour que le lecteur se sente un peu plus à l’aise dans un environnement qu’il imaginait probablement moins accueillant.