De 1950 à 1952, Margaret Laurence accompagne son mari chargé de superviser la construction de réservoirs d'eau dans le désert du Somaliland. Dans une petite maison « sur le toit du monde », séduite par un peuple et une culture d'une grande richesse, elle corrige et traduit des poèmes somalis. Au fil des jours, elle accumule notes et observations pour livrer un hommage touchant, ponctué d'humour et de fines réflexions, aux gens rencontrés, à la beauté surréelle des paysages traversés.