» Article de Decembre 2016 Année » page 465

Magdalen Nabb - Mort au printemps

Quel plaisir de se promener en votre compagnie à travers les rues de Florence, avec leurs carabiniers, artisans, trattorias, et même leurs turbulents touristes. Tout est si vivant, les bruits sont audibles, les odeurs aussi perceptibles que la légère brume matinale sur le cours alerte de l'Arno. Jusqu'aux collines basses, où les bergers sardes, leurs traditions et leur mode de vie quasi inchangé, sont tout aussi habilement dépeints. Que ne donnerait-on pas pour goûter à leur ricotta !



Magdalen Nabb - Le gentleman florentin


En cette veille de Noël, tout est décidément bien trop calme à la stazione Pitti de Florence... C'est du moins ce que pensait le jeune carabinier Bacci avant qu'un riche Anglais ne soit retrouvé assassiné dans son appartement de la Via Maggio. Chez la victime, son supérieur l'adjudant Guarnaccia, découvre un demi-million de livres sterling et une oeuvre d'art volée.... L'enquête, à laquelle vont participer deux inspecteurs de Scotland Yard, va plonger Guarnaccia au coeur d'un trafic d'art à grande échelle, où des hommes aux caprices sans limites, sont prêts à tout pour faire fortune.



Magdalen Nabb - Cadavre d'automne

Un petit matin brumeux, des plongeurs sortent de l'Arno le cadavre d'une quinquagénaire avec, pour seul vêtement, un manteau de fourrure. Suicide ou homicide ? Et surtout, qui est-elle ? L'adjudant Guarnaccia parvient à répondre à cette question, mais cela ne fait qu'épaissir le mystère. Tous ceux qui ont connu Hilde Vogel affirment qu'elle vivait quasiment en recluse. En revanche, ils n'étaient pas au courant de son étrange relation avec un portier d'hôtel, de l'existence d'une villa à la campagne qu'elle louait à des jeunes gens, de ses voyages à l'étranger ou encore de ses comptes en Suisse. Personne n'a envie de s'occuper de ce dossier sordide, surnommé par les hommes du capitaine Maestrangelo l'« affaire de l'étrangère en fourrure ». « L'adjudant Guarnaccia est italien, florentin même, corpulent, gastronome, effacé, lugubre et complexé... ce qui ne l'empêche nullement de se révéler comme un enquêteur hors pair dans une ville pavée de mauvaises intentions.



Madeleine Robitaille - Dans l'ombre de Clarisse


Une grand-mère, dans l'imagerie populaire, c'est une petite femme toute ronde, au visage doux et souriant, à la peau délicieusement parfumée, à la voix chaude et rassurante, qui nous accueille avec des confitures maison et des beignets, qui nous caresse de ses mains aussi légères qu'un vol d'oiseau, qui sait consoler petits et grands chagrins, qui sait écouter avec sagesse et compassion, et qui, par-dessus tout, nous aime sans condition, pour toujours. Eh bien! pour Charlotte et ses soeurs, une grand-mère, c'est Clarisse : mâchoire inférieure avancée, nez plat, front large, yeux écartés et brillants d'un feu insoutenable, des mains comme des battoirs, un corps massif et imposant, et une voix qui s'apparente à un grognement, parfois même à un aboiement. D'où le surnom dont l'ont affublée ses petites-filles, pour rigoler entre elles : la Bouledogue. Le jour où Clarisse doit venir s'installer chez elles, à la suite d'un drame qui laisse leurs parents incapables de s'occuper d'elles, l'existence des quatre soeurs prend la tournure d'un cauchemar. L'éducation, selon Clarisse, c'est se soumettre ou souffrir. Pour en arriver à ce que son code de bonne conduite soit respecté à la lettre, elle ne lésine pas sur les méthodes, même les plus cruelles. Charlotte, la rebelle, regrettera amèrement de ne pas avoir plié l'échine devant cette nouvelle autorité. Sa résistance la conduira tout droit à l'horreur, à l'inimaginable, l'obsession de Clarisse l'atteignant au cour même de sa féminité... L'arrivée de la Bouledogue au coeur de cette famille unie par l'amour et la confiance aura les mêmes effets qu'un tsunami : dévastation, désolation, mort... Âmes sensibles s'abstenir...



Un seul regard de Joan Reeves


Que feriez-vous si le gynécologue remplaçant votre médecin habituel se révélait être le garçon dont vous étiez amoureuse au lycée ? Jennifer Monroe, docteur en psychologie, a fait ce que toute femme normale aurait fait à sa place. Elle s�est inventé une excuse pour envoyer ledit docteur et l�infirmière hors de la pièce, s�est rhabillée en quatrième vitesse, et a pris ses jambes à son cou !

Malheureusement pour elle, le consciencieux Dr. Penrose conclut de sa fuite qu�elle possède un complexe sexuel. Il est déterminé à la référer à un autre médecin pour son bien-être. S�il pouvait juste lui parler, il pourrait lui suggérer un suivi psychologique pour ce qu�il pense être des problèmes émotionnels.

Jennifer ne répond pas à ses coups de fil et elle a bien l�intention de ne jamais le revoir. Après tout, Dallas est une grande ville. Quelles sont les chances qu�ils se rencontrent à nouveau ?

Lorsque Jennifer et Matt se retrouvent à un gala de charité, il la presse de chercher l�aide d�un professionnel. Jennifer est hors d�elle de découvrir qu�il la croit être une vierge frigide. Tout le ressentiment qu�elle a gardé du lycée lui revient en mémoire, alimentant sa détermination à lui donner une leçon qu�il n�oubliera pas de sitôt.


1 ... 461 462 463 464 465 466 467 468 469 ... 639
Retour     Suivant

Inscription

Groupe D'utilisateurs


Bienvenue

Votre Identifiant:

Votre Mot De Pass:


Inscription
mot de pass oublie?

Zone Calendrier

Zone Publicité

Zone Compteur

Flag Counter

A lire

Zone-ebook n'héberge aucun fichier. La loi française vous autorise à télécharger un fichier seulement si vous en possedez l'original. Ni zone-ebook.com, ni nos hébergeurs, ni personne ne pourront êtres tenu responsables d'une mauvaise utilisation de ce site.

Aimez Vous Ce Site ?

       

Archives

Novembre 2024 (3600)
Octobre 2024 (4610)
Septembre 2024 (3617)
Aout 2024 (1395)
Juillet 2024 (2174)
Juin 2024 (3739)

Publicité