Saviez-vous :
que le cœur bat en moyenne 36 à 40 millions de fois par an ?
Qu'il faut repeindre la tour Eiffel entre le premier étage et le sommet tous les cinq ans ?
Que le plus long fleuve d'Asie, le Yang-tseu-kiang, s'écoule sur plus de 6000 km ?
Que A la recherche du temps perdu fut d'abord refusé par tous les éditeurs avant d'être édité à compte d'auteur, puis d'obtenir le Goncourt ?
Qui aujourd'hui peut citer, sans se tromper, la liste des présidents français et américains, les Sept Merveilles du monde, la généalogie des rois de France ou les vainqueurs des Coupes du monde football ?
Ou encore : qui connaît les pseudonymes célèbres ?

Avec une bonne dose d'humour, Daniel Lacotte nous propose un voyage buissonnier au pays de la connaissance et il ravive avec jubilation les moindres recoins de notre mémoire. Véritable jeu d'érudition, Les Pingouins ne sont pas manchots secoue les neurones et, page après page, nous donne envie de toujours en savoir plus!

Toutes les cougars ont-elles l'abricot fendu ? Peut-on avoir à la fois les yeux en trou de pine et le papier qui colle aux bonbons ? Un échappé de capote peut-il envoyer ses enfants à la blanchisserie ? Un fouteur faire compter les solives à une chaudasse, voire à un cageot ? Combien faut-il de peigne-culs pour faire la bête à deux dos ? Vaut-il la peine de se polir le chinois en présence d'une gougnotte qui se défrise la chicorée ? Faut-il se dégorger le poireau avant de manger le poisson sans sauce ? Peut-on renverser la marmite sur une paire de rotoplos ? Toutes ces questions et d'autres trouvent leur réponse lexicale dans cet abrégé de la langue verte, aussi érudit que polisson.
De A comme "Abbaye de clunis" à Z comme "Zizi-panpan", près d'un millier de mots et expressions appartenant au langage leste, autant de termes épicés et drus, de formules imagées et truculentes pour dire la chose avec esprit et sans pudeur.

Quand elle se réveille ce matin-là, Estelle, comme tous les jours, se rend dans la chambre de sa petite fille de sept mois pour lui donner son biberon. Effarée, elle découvre un berceau vide, une chambre vide : plus aucun vêtement, plus de jouets. Comme si son bébé n'avait jamais existé. Estelle, sous l'emprise d'une dépression post-partum très sévère, met plusieurs jours à signaler la disparition. Très vite, la jeune mère devient le suspect numéro un aux yeux de la police, des médias et de son mari.

Abandonnée de tous, elle s'accroche à un espoir fou : celui de retrouver son enfant.

Gilles l'un des auteurs les plus lus et M.Mathy est l'une des comédiennes "populaires" de notre pays. Au delà de leur notoriété, l'un et l'autre ont une particularité qui a façonné leur vie... L'idée est simple : à partir d'une rencontre humaine formidable, ils ont eu envie de se poser les questions que personne n'ose jamais afin d'aborder légèrement, mais en toute connaissance de cause, ce qui aurait dû les détruire et les a finalement construits. Loin d'être une thérapie, ce livre est une invitation, une volonté de dire à ceux qui ne se reconnaissent pas dans les stéréotypes du monde qu'ils y ont aussi leur place. C'est un dialogue libre, authentique, joyeux et émouvant, un regard croisé, un essai comparatif décalé et tendre pour aider ceux qui ne trouvent pas leur place à se la fabriquer. Bienvenue au coeur d'un échange exceptionnel où chacun veut découvrir avec bienveillance les pires problèmes de l'autre et comment s'en sortir. Avec autant de chaleur que de pertinence, ces deux humanités prouvent qu'aucun destin n'est joué d'avance.

Souriez, vous êtes surveillés !

Paul, dessinateur de presse, rencontre une jeune femme lors d'une soirée masquée. Elle ne dévoile ni son visage, ni son identité, mais le questionne sans relâche. Les échanges s'éternisent, des liens se tissent. Mais au cœur de la nuit, elle disparaît, emportant avec elle tous ses secrets.

Intrigué, séduit et avide de réponses, il se lance à sa recherche. Il va alors découvrir l'insoupçonnable réalité de la société dans laquelle il vit. Sous l'apparence séduisante d'une démocratie exemplaire qui ne veut que le meilleur pour les siens, un effroyable système de contrôle de la population a vu le jour, faisant émerger un monde totalitaire d'un nouveau genre. Parmi les armes déployées par le gouvernement, l'IDP, l'Indice de Développement Personnel, attribué à chaque citoyen. Et celui de Paul - 37 - ne vole pas très haut...