Varda Etienne ne s'est jamais sentie à l'aise dans la normalité. C'est la raison pour laquelle elle a toujours eu au fond d'elle cette envie insatiable, voire boulimique, de provoquer. A la télévision et à la radio, elle s'est montrée bien plus provocante qu'aucune autre femme au Québec avant elle. Varda s'est construit un personnage que, telle une déesse grecque, ses nombreux fidèles vénéraient. Toutefois, si ces derniers se délectaient de ses excentricités, de ses audaces et de ses dérapages, beaucoup d'autres se complaisaient à la haïr en attendant le faux pas qui la mènerait à la déchéance publique. Comme si elle avait voulu faire taire se détracteurs, Varda est descendue de son piédestal et a commencé à faire son autocritique. « Je suis folle! » ou « Il faut que j'aille voir mon psy », lançait-elle sans cesse sur un ton désinvolte. Ceux-là mêmes qui la détestaient se sont mis à la trouver attachante. Aux yeux de tous, Varda était devenue à la fois la femme forte et la femme faible. Bref, elle était humaine. Humaine et bipolaire.

Varda sort du placard et nous livre enfin toute la vérité sur elle-même. Oui, vous avez bien lu : Varda est bipolaire. Même quand elle rit de ce rire railleur et tellement contagieux qu'adorent ses admirateurs, même quand elle boit un daïquiri aux fraises, étendue sur une plage de sable blanc sous un ciel sans nuages, Varda a toujours une épée de Damoclès au-dessus de la tête. D'un instant à l'autre, sa vie peut basculer du tout au tout et, alors, même le beau temps fout le camp pour laisser place à la tempête.

Varda a souffert. Si elle a écrit ce livre, c'est pour s'aider, mais aussi pour aider les autres.

Alors que Louise rentre chez elle après une journée de travail, elle a l'horrible surprise de trouver sa colocataire assassinée. C'est le prélude à une série de meurtres se différenciant les uns des autres par un numéro gravé sur le lieu du crime. Tandis que le commissaire Franck Tapais et son équipe mène l'enquête, le journaliste Jean Casard, ayant eu droit à la primeur de l'affaire, se voit propulsé sur la scène médiatique. Alors que les crimes se succèdent sans raison apparente, le journaliste et le commissaire vont, peu à peu, se retrouver de plus en plus impliqués dans l'histoire. Une affaire laborieuse, des individus douteux et un tueur fantomatique. Tout s'enchevêtre pour mener vers un final surprenant.

Retrouvez le commissaire Luc Ybom, l'un des personnages de Fledermaus. Il revit pour vous l'un des épisodes les plus marquants de sa carrière et, à travers lui, les événements d'une année terrible. En 2001, nouvellement nommé commissaire principal à Paris, il doit jongler entre deux enquêtes d'autant plus délicates et obscures qu'elles ne tarderont pas à l'impliquer personnellement. En dépit des efforts déployés par la brigade, l'énigmatique Krampus demeure insaisissable et une course contre la montre mortelle s'engage, dont Ybom est loin d'imaginer l'issue.

Les Golden Beauties étaient toutes jolies, mais Vicky Gaye était éblouissante. Elle avait quelque chose de royal et se déplaçait en cadence, avec une sûreté et une grâce parfaites, la tête haute, les grands yeux verts aussi bouleversants qu'indifférents. Elle n'était vêtue que de perles.

Lisa Jones est une jeune musicienne à la recherche du succès. Lorsqu'elle est obligée de prendre un boulot comme femme de ménage pour subvenir à ses besoins, elle est loin de se douter que ce travail anodin la conduira au studio d'enregistrement d'une célèbre rockstar. Joshua Perlman est le chanteur et guitariste d'un célèbre groupe de rock. Il est irrésistible, mais il cache quelque chose. Lisa est surprise qu'il s'intéresse à elle. Pense-t-il vraiment qu'elle a du talent ou cherche-t-il juste à coucher avec elle ? Elle devra tout risquer pour en avoir le coeur net.