"Une combine en or" est un roman dans la veine froide et brutale de "Nuit de fureur" ou de "Un chouette petit lot". Toddy Kent ne se distingue guère des autres anti-héros de Thompson, avec son goût pour les petites escroqueries qui semble provenir non pas tellement d'une rapacité quelconque mais plutôt d'une impulsion vers l'autopunition. Sa dégradation est exacerbée par une femme alcoolique et abusive, la même femme-putain qui reviendra si souvent. Pour le reste, il y a la description incisive d'un trafic d'or, un bref et violent séjour au Mexique, et - pour la bonne mesure - un chien qui parle."

Aux quatre coins des Royaumes oubliés, d'étranges phénomènes se produisent. Une jeune sorcière maniant la magie interdite, un voleur aussi malingre que féroce et un nain à la force surnaturelle : ces trois êtres qui ne se sont jamais croisés vont pourtant chacun influer sur le destin du plus célèbre des elfes noirs, Drizzt Do Urden. Un destin qui n'a pourtant rien de scellé, alors que dans l'ombre une cabale de sorciers se met en marche, et que des dieux oubliés renaissent de leurs cendres.

A Montevideo, Leonid Sednev, âgé de 91 ans, décide avant de mourir de révéler le secret de sa vie. Embauché en 1912 comme ramoneur au palais impérial de Russie grâce à sa tante Nina, ancienne femme de chambre de la tsarine, le petit Leonid sera jusqu'en 1918 le "témoin invisible" de l'intimité des Romanov et le seul survivant de l'épouvantable massacre d'Ekaterinbourg. Rien n'échappe à son regard tantôt ironique et curieux, tantôt amoureux et tendre, et plus d'une fois épouvanté. Avec son ami Yuri, il découvre le quotidien de l'impératrice et de ses filles, apprend quels sont les véritables commanditaires de l'assassinat de Raspoutine, console le jeune et fragile tsarévitch Alexis, assiste aux conspirations de palais, côtoie des agents secrets, avant d'être emporté par le tourbillon de l'histoire, le soulèvement de Petrograd puis la révolution d'octobre. Mais c'est en rejoignant la famille impériale dans son exil, que Leonid, serviteur loyal, secrètement amoureux de la grande duchesse Tatiana, livrera à l'histoire le plus déchirant des témoignage.

Il y a d'abord cette lumière jaune, intense, d'un soleil d'hiver qui brille au-dehors. Un soleil qui éblouit sans réchauffer. Puis on découvre le vieil homme immobile. II s'est détourné de sa table de travail et du livre qu'il étudiait : pour réfléchir ? Se reposer ? Méditer ? Notre regard glisse ensuite vers la droite et remarque la porte basse de la cave. Puis il est attiré par l'escalier en colimaçon. Au moment où il s'apprête à gravir les premières marches, il découvre le feu qui crépite dans l'âtre et une femme attisant la braise. Il revient vers l'envol des marches : mais elles ne conduisent qu'à de l'obscurité.
Le tableau est petit, le lieu qu'il dépeint est sombre, mais on a le sentiment d'un vaste espace. C'est le génie de Rembrandt, qui fait voyager notre regard dans toutes les dimensions. En largeur, depuis la gauche, d'où irradie la lumière du jour, vers la droite, où celle du feu est fragile, presque dérisoire; le dialogue d'un soleil qui éclaire sans réchauffer et d'un feu qui réchauffe sans éclairer ; soleil de la raison et feu de la passion, deux ingrédients pour philosopher ? En hauteur, avec cet escalier en colimaçon qui relie profondeurs secrètes de la cave et mystères obscurs de l'étage. En profondeur, depuis le fond du tableau où siège le philosophe jusqu'au cercle de ténèbres qui l'entoure. Mais le sentiment d'espace vient aussi du jeu subtil entre le dévoilé et le caché. Ce qui importe, c'est ce qu'on imagine : de l'autre côté de la fenêtre, derrière la porte de la cave, en haut de l'escalier. Et le plus vaste de ces univers cachés à nos yeux qui sont passés trop vite : l'esprit du philosophe, son monde intérieur. Ténèbres et pénombres, un peu de lumière, un peu de chaleur. Et un esprit en marche. Est-ce à cela que ressemble notre intériorité ?

Format poche broché. Illustrations couleur. Produit des ventes reversé à l'association Comic Relief. Harry Potter est un joueur de Quidditch extrêmement doué : dès sa première année au collège Poudlard, le voici attrapeur de l'équipe des Gryffondor. Alors il lui a bien sûr fallu lire la Bible en la matière : "Le Quidditch à travers les âges", attribué à l'auteur légendaire et éminent connaisseur de Quidditch, Kennilworthy Whisp. Saviez-vous qu'il y a 700 motifs de fautes à ce jeu aux règles complexes ? Connaissez-vous l'origine du Vif d'Or, ou celle des Cognards ? Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les Wigtown Wanderers portent l'image d'un couteau de boucher dans le dos. Cette copie du très précieux volume conservé à la Bibliothèque Poudlard renferme toutes les réponses à toutes les questions sur le jeu préféré de Harry Potter. Lorsque Richard Curtis de Comic Relief a contacté J.K. Rowling afin qu'elle écrive une nouvelle au profit de son association, celle-ci a eu l'idée de rédiger deux livres dont elle avait déjà tracé la trame. Ce sont deux ouvrages lus par Harry au cours de ses aventures : "Le Quidditch à travers les âges" et "Les Animaux fantastiques". Comic Relief est une association humanitaire qui aide les enfants les plus pauvres des pays défavorisés (aide à la scolarisation, réunion des familles séparées par la guerre, soutien matériel et psychologique aux victimes de guerre, campagnes d'information sur le SIDA). En France, les éditions Gallimard ont demandé à tous leurs partenaires de prendre part à l'opération : ceux-ci ont participé bénévolement à la conception, à la fabrication et à la diffusion des livres et renoncé à leurs revenus en faveur de Comic Relief. Pour chaque livre acheté, 20 FF seront reversés à l'association.