Le parc : un lieu où les enfants jouent, où les amis discutent sur un banc, où les gens promènent leurs chiens. Mais dans la petite ville de Woolsmarsh, le parc est aussi le lieu où un prédateur fait régner la terreur...

Un prédateur qui choisit ses victimes parmi des jeunes femmes qui prennent un petit raccourci mortel. Leur dernier chemin.

Mais un jour, une femme aperçoit l'étrangleur. Elle devient la nouvelle obsession du tueur qui doit l'empêcher de parler à tout prix. L'enquêtrice Geraldine Steel, de son côté, n'a pas le choix : elle doit entrer dans la tête du prédateur pour l'arrêter avant qu'il ne fasse de nouvelles victimes.

Dans Murder Park, une ombre guette. Le temps de la voir, il est déjà trop tard...

Fils de proviseur d'un lycée d'une petite ville d'Allemagne du nord, Roland de D. est à 19 ans un étudiant qui suit des études d'anglais à Berlin). Il mène dans la capitale allemande une vie dissolue pendant plusieurs mois, négligeant ses études. Découvrant cela, son père le fait déplacer dans une université d'une petite ville de province au centre de l'Allemagne. Là, il est tout de suite subjugué par l'intelligence d'un professeur de philologie et son talent pour communiquer sa passion pour Shakespeare. Par la suite, l'étudiant est amené à entrer dans l'intimité du professeur.

Dans cette nouvelle, parue en 1927, Stefan Zweig (Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, Le Joueur d'échecs) excelle à décrire la force destructrice de la passion, en butte aux contraintes de la morale. Avec la finesse de style qui le caractérise, l'auteur dit l'ambiguïté du désir et de l'amitié, la "confusion" des pulsions et des êtres, la complexité de la nature humaine. Sa capacité à révéler dans La Confusion des sentiments la réalité du tabou de l'homosexualité fut saluée notamment par Freud.

Scénario: Delépine, Benoît
Dessins: Vince & Stan
Couleurs: Pezzali, Walter
Origine: Europe
Éditeur: Albin Michel
Collection: L'Écho des Savanes
Planches: 54
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L'ancien frère Jo excommunié en 2026 pour une affaire de moeurs est engagé comme détective privé par Donald Weslake, un dirigeant de société à qui il reste 134 secondes de vie éveillée. Weslaske lui demande de retrouver son fils unique qui est entré dans une secte. Il fournit à frère Jo un crédit illimité pour son enquête. Il va voir ses anciens collègues de l'église catholique. Ceux-ci ont leurs propres problèmes depuis qu'il a été prouvé que Jesus n'avait jamais existé.

Parmi les nouveaux moines, il remarque celui qui est appelé le bienheureux. Certains estiment qu'il pourrait être le nouveau messie, mais le lendemain de la visite de frère Jo, le bienheureux est retrouvé assassiné. La même chose va se passer auprès de la communauté juive après que frère Jo soit allé les voir pour son enquête.

Madame de Clèves, jeune beauté parfaite en tout point, fait des débuts remarqués à la cour de la reine dauphine, belle-fille d'Henri II. Pour ce modèle de vertu, l'image de Diane de Poitiers plane tout au long du roman comme le contre-exemple absolu. Mais sous des dehors innocents, la Princesse de Clèves, par sa faculté à analyser et à maîtriser ses sentiments, fait preuve d'une personnalité étonnante et rarement exposée avec tant de justesse auparavant.

Car, si l'amour courtois trouve ici d'indéniables échos, cet ouvrage paru en 1678, souvent considéré comme le premier roman de la littérature française, est indéniablement un pas énorme vers le roman tel qu'on le connaît aujourd'hui.

Ecoutez bien monsieur Pierre : il va raconter aux enfants de papa Saïd des histoires très très vraies et très très sérieuses. Celle du petit diable qui désespérait sa famille parce qu'il voulait être gentil. Celle du sultan qui épousa une patate, celle du prince et de la sirène, celle du cochon qui avala l'étoile Polaire, ou encore celle du nigaud qui alla chercher " je ne sais quoi ", et rendit tout le monde heureux...
Portés par la malice de Pierre Gripari, ces contes modernes, irrévérencieux et insolites révèlent les princes et sorcières sous un nouveau jour...