Si l'on a pu définir, certes de façon sommaire, les livres de science-fiction comme des récits où l'on parle de fusées interplanétaires, une telle description est à présent plus que restrictive. D'abord succursale quelque peu excentrique du roman d'aventures, ce genre littéraire s'est très vite dégagé des stéréotypes et des conventions de la littérature populaire d'évasion et d'exotisme pour affirmer sa propre personnalité, ses propres codes, bref, pour s'inventer. Des célèbres précurseurs jusqu'aux auteurs les plus contemporains, cet ouvrage invite à comprendre les évolutions du genre et nous guide pour un voyage dans les mondes parallèles, les uchronies, les cyberespaces et autres dimensions inconnues.

Après Meurtres rituels à Imbaba, la troisième enquête de Makana, détective privé pas comme les autres.

Début 2002, peu après le 11-Septembre. Alors que les Israéliens assiègent Ramallah, une forte tension agite les rues du Caire, où Makana file tant bien que mal la Bentley de Me Ragab, que sa femme pressent d'adultère. En réalité, l'avocat va voir sa protégée, Karima, une jeune fille gravement brûlée dans l'incendie de son domicile. La police croit à un accident, il soupçonne un crime d'honneur commis par le père de la victime, un djihadiste en cavale. Makana se rend à Siwa, oasis à la lisière du désert libyen, pour se renseigner sur la famille de Karima, mais il s'y heurte à l'hostilité des autorités, qui appliquent la loi à leur manière et se méfient des étrangers. Pire, il est accusé de deux meurtres barbares qui l'éclairent sur une donnée majeure de l'équilibre local : la présence de gisements de gaz...

À travers le personnage d'une femme membre de l'Association pour la protection des droits des Égyptiennes, la série " Makana " s'enrichit d'une nouvelle perspective : la condition des femmes et l'islam.

Parker Bilal est le pseudonyme de Jamal Mahjoub, Anglo-Soudanais également auteur de six romans non policiers. Né à Londres et diplômé en géologie de l'université de Sheffield, il a vécu au Caire, au Soudan, au Danemark et à Barcelone avant de s'établir à Amsterdam.

Le principe de Peter vous plongera dans l'émerveillement, en vous faisant découvrir que votre patron, votre chef de service, votre contremaître... sont moins compétents que vous ne le croyez. Vous serez étonné de constater que, malgré cette incompétence, ils ont pu s'élever aussi haut dans l'échelle sociale. Peut-être vous poserez-vous la question : et moi ?

Extrait :
"Qu'avez-vous à gagner en poursuivant votre lecture ? En triomphant de votre incompétence innée, et en comprenant cette incompétence chez les autres, vous pourrez travailler plus facilement, gravir les échelons et gagner plus d'argent. Vous pourrez éviter les maladies pénibles, devenir un meneur d'hommes, savourer vos loisirs, faire le bonheur de vos amis et confondre vos ennemis, impressionner vos enfants et enrichir votre vie conjugale. En un mot, cette connaissance va révolutionner votre vie, et peut-être la sauver. Alors, si vous en avez le courage, poursuivez la lecture, apprenez le principe de Peter, et mettez-le en application."
Raymond Hull.

Le formateur est unique par son style d'enseignement et les apprenants le sont également par leur personnalité. Alors, finissons-en avec les méthodes d'enseignement standardisées ! Le Funny Learning propose une pédagogie innovante qui s'appuie sur l'unicité de chaque apprenant et formateur. Vous pourrez ainsi :
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Très concret, ce livre apporte des conseils, des témoignages d'experts ainsi que des séquences pédagogiques prêtes à l'emploi. Que vous soyez formateur, enseignant, coach ou manager, ce guide opérationnel laisse une large place à l'expression de votre personnalité, tout en valorisant celle de vos apprenants.

Une machine à concentrer la richesse, laissant une poignée de vainqueurs face à une armée de vaincus : voilà ce qu'est devenu le capitalisme. L'État-providence n'aura duré qu'une saison, la révolution technologique en cours réduit le marché de l'emploi.
Le court-termisme règne en maître, la défense de privilèges aussi exorbitants que médiocres bloque toute tentative de sauvetage.
La finance et l'économie pouvaient être réformées au lendemain de l'effondrement de 2008. Rien n'a été fait. Le verdict est sans appel : nous n'apprenons pas de nos erreurs ! Si bien qu'aujourd'hui, se débarrasser du capitalisme est devenu, pour l'humanité, une question de survie.
Paul Jorion propose une analyse sans concession et des pistes d'espoir : oui, la spéculation peut être interdite comme autrefois ; oui, l'État-providence doit être inscrit une fois pour toutes dans nos institutions ; oui, un projet européen ressuscité pourrait être le fer de lance d'un véritable redressement ! Seule la volonté fait défaut.

Anthropologue et sociologue de formation, Paul Jorion révolutionne depuis dix ans le regard que nous portons sur la finance et l'économie. Son récent ouvrage, Le dernier qui s'en va éteint la lumière, a d'ores et déjà laissé sa marque.