Pour fuir un passé douloureux, Amandine quitte son berceau natal pour s'installer au coeur des Alpes dans une magnifique demeure du 18e siècle. Mais bientôt, ses songes seront sujets à d'horribles cauchemars. La maison commencerait-elle à livrer ses secrets les plus infâmes ? Qui écrit les messages sur le miroir mais surtout dans quel but ?

Sophie accompagnée de son petit garçon, Xavier, décide sur un coup de tête de partir quelques jours en vacances dans les Alpes. Dès le lendemain de son arrivée, des événements étranges se déroulent, au point que son instinct, par ce goût de feuilles mortes dans la gorge, la poussera à partir. Mais, sur la route du retour, une déviation les mène à un tunnel dans lequel des phénomènes incompréhensibles manquent de peu les tuer. Une fois dehors, Sophie s'aperçoit qu'elle n'est plus en France mais dans le pays de son ancien amant, mystérieux et adepte de l'épée, disparu après une course poursuite dans les Pyrénées, 7 ans plus tôt.

Geneviève est une femme molle de corps et d'esprit pour qui l'autoroute et les allers et retours interminables vers le bureau se sont mués en enfer quotidien. Ni son époux, ni son fils, ni leur impeccable maison de banlieue et la vie parfaite qu'ils y mènent ne réussissent à l'extirper du marasme dans lequel elle s'enfonce. Pour tromper l'ennui, elle prend alors l'habitude d'embarquer une jeune auto-stoppeuse qui l'intrigue. Qui est donc Émilie, avec ses vêtements noirs, ses contours flous et sa chique de gomme ? Afin de soulager certaines inquiétudes, mais surtout pour passer plus de temps avec cette ado qu'elle affectionne déjà, Geneviève accepte son invitation à une fête de famille.Ce sera le début de la débâcle qui la précipitera hors de son existence bien lisse, plus précisément au sein d'une maisonnée atypique et complexe. Robert, cet homme poilu et fort en gueule, est-il vraiment le père d'Émilie, mais aussi d'Alexandre, apprenti musulman, de Marc et de Sébastien, jumeaux atteints de TOC, et d'Anne, petite puce métisse ? Y a-t-il une place pour un adulte responsable dans cette famille toujours au bord de la catastrophe ?

On the road again. Paru pour la première fois aux éditions du Sagittaire sous le titre : Les Guerriers de l'enfer en 1978, La Ligne de fuite (Dog Soldiers) est considéré comme « LE » grand roman américain de l'après-Vietnam. Ce livre qui débute à Saïgon, peu avant la chute de la ville entre les mains du Viêt-Cong (comme Apocalypse Now) et se poursuit dans une Amérique qui s'illumine des derniers feux de la contre-culture (comme dans Acid Test de Tom Wolfe) est aussi un roman noir survolté : un journaliste, Converse, et sa femme Marge s'associent avec un Marine (Hicks) pour ramener du Vietnam une cargaison d'héroïne dans le but de l'écouler aux USA.

Pris en chasse par les Stups et par la Mafia, ils se lancent dans une folle course-poursuite à travers la Californie, laquelle s'achève dans le ranch d'un écrivain bien perché où l'on reconnaîtra aisément Ken Kesey (Vol au-dessus d'un nid de coucou, Et quelque fois j'ai comme une grande idée).

Un dangereux pouvoir. Des suicides inexpliqués. L'ombre d'un tueur. Sortie du coma avec un étrange pouvoir, Ann Milande se lance à la recherche de son père. Elle veut lui arracher un terrible secret enfoui depuis plus de vingt ans. Rien ni personne ne l'empêcheront d'atteindre son but. Et tant pis si les morts s'accumulent dans son sillage. Mais elle se heurte à l'inspecteur Steven Whitmore. Obsédé par la traque d'un psychopathe insaisissable, il a fait l'erreur de sa vie en s'attaquant à Charles Rylander.

Le puissant homme d'affaires a entamé un jeu pervers avec lui dans le seul but de le détruire. Dans l'hiver glacial de l'Ohio, chacun poursuit son but. Ann cherche son père, Steven son tueur. Ils se percutent de plein fouet. Vont-ils être broyés dans leur quête ? Qui mourra pour que les secrets soient révélés ? Jamais la vérité n'a coûté aussi cher. (page 362) : « - Le mal est un puits. Plus on descend, plus il y fait froid. Mais c'est un froid qui n'a rien à voir avec la température. Il y règne aussi un noir absolu, mais qui n'est pas dû à l'absence de lumière. » ( Bill - En attente dans le couloir de la mort - Texas )