Ben a presque tout raté dans sa vie. Sa carrière est au point mort, son couple part à vau l'eau, son fils est « différent ». À dix ans, Jonah ne parle pas. Lorsqu'ils sont tous deux contraints d'emménager chez le père de Ben, trois générations d'hommes un qui ne sait pas parler, deux qui s'y refusent sont réunies sous le même toit. Alors que Ben engage une bataille juridique éprouvante pour obtenir le placement de son fils dans un établissement spécialisé, Jonah se rapproche de son grand-père dont les jours sont comptés. Et cet homme qui n'a jamais révélé le secret de ses origines, se met à parler, pour la première fois, à ce garçon qui n'a pas de mots pour lui répondre. C'est peut-être l'occasion pour Ben de se rendre compte que sa plus grande réussite, c'est son fils.

Polly McClusky a onze ans le jour où son père Nate, fraîchement sorti de prison, vient la récupérer à la sortie du collège. Elle ne sait pas encore que sa mère a été assassinée, ni que sa tête et celle de son paternel ont été mises à prix.
C'est le début d'une cavale violente et sanglante à travers la Californie. Et la naissance d'une complicité, affective et criminelle.

Un premier roman sombre, nerveux et plein d'humanité sur la famille, le sacrifice et la rédemption.

Majimé, jeune employé d'une maison d'édition, se voit confier la réalisation d'un nouveau dictionnaire du japonais, un projet titanesque baptisé « La Grande traversée ». L'un des premiers termes sur lesquels il est amené à travailler n'est autre que le mot « amour ». Mais comment définir ce dont on n'a pas fait l'expérience ? A vingt-sept ans, aussi maladroit avec les gens qu'il est habile avec les mots, Majimé n'a jamais eu de petite amie. Quand il rencontre la petite-fille de sa logeuse, il tombe immédiatement sous le charme. Aidé par ses nouveaux collègues, il va tout faire pour vaincre sa timidité et lui faire part de ses sentiments, tout en ne perdant jamais de vue sa mission première : éditer le plus grand dictionnaire de tous les temps. Amour, gastronomie et lexicographie : tels sont les ingrédients de ce roman léger et attachant, couronné du Prix des libraires au Japon.

Lorsque les neuf personnages de L'Ombre des morts se retrouvent enfermés dans la Maison du Temple, ils ne savent pas encore qu'ils ne sont pas là par hasard. Certains se connaissent, d'autres non. Pourtant, après la découverte du cadavre du bibliothécaire, les langues se délient et les secrets de chacun se dévoilent peu à peu. Les prédictions de la cartomancienne, Prudence, se font de plus en plus sombres, jusqu'à ce qu'un nouvel événement sanglant les confronte à l'évidence : l'assassin est parmi eux. Découvriront-ils son identité ? Découvrez L'Ombre des morts, un thriller haletant qui joue avec les codes du huis clos. Nora S. Miller nous propose une énigme qui trouve ses réponses dans les drames personnels des personnages, mais aussi dans les moments les plus sombres de l'Histoire. Un roman palpitant et angoissant !

Le docteur Paul Thuillier, la cinquantaine séduisante, est conscient de sa valeur. Habitué à sauver des vies, quand il est confronté à une explosion virale mortelle qui emporte sa femme, pour survivre il n'hésite pas à tuer à deux reprises. Son bilan lui semble toujours positif. Ce n'est pas l'avis de la Justice !

Poursuivi par toutes les polices, nous avons suivi avec plaisir sa fuite éperdue en Islande dans PANDEMIC et GLACIALES GLISSADES, puis en Amérique du sud dans MORTELLES DÉSILLUSIONS. Enfin arrêté au Pérou, il est transféré aux États-Unis où il risque la peine capitale.
Incarcéré dans la sinistre et glaciale prison de Dannemora, État de New York, il doit faire face à l'hostilité de ses co-détenus, lui, le chirurgien, l'étranger. Transféré en Arkansas pour être jugé, s'il sauve sa tête, il reste la cible de la LGBT. Soumis à un combat quotidien, il vacille, frôle la mort, pense à se suicider, puis revit et, contre toute attente, reprend espoir, grandement aidé par sa compétence chirurgicale.
Il reprend foi en la vie et. redécouvre l'amour.
Une impensable rédemption dans un univers où l'homme est, à l'image du climat, brutal et dangereux.