Après » L'unijambiste de la cote 284 « , voici un autre recueil de nouvelles noires tout à fait. caractéristique du ton de l'auteur. On trouve, ici encore, des personnages abominables, pervers. Ou hilarants. C'est dire que l'humour macabre règne en maître dans ces sept histoires à la chute imprévisible et effarante : du chasseur qui traque l'animal - mais aussi l'homme ! - au pauvre type frappé du » délit de sale gueule « , ce qui lui joue un tour effrayant, en passant par le rescapé de » La Nuit des longs couteaux « , sur la touche et dégotant un job sinistre, ou le cinéaste qui voit rouge.