"En un périlleux acte d'équilibre, il m'a fallu trouver un moyen terme entre mon refus de n'être que le strass voulant frauduleusement imiter le
diamant, et le désir de préserver "ce grain de faux qui est peut-être l'idéal d'une œuvre"."
On pénètre ici comme par effraction dans la bibliothèque intime de Gabrielle Wittkop où l'esprit des Lumières et du libertinage voisine avec le
romantisme européen, ainsi que d'autres grands classiques et modernes admirés. Ces vingt pastiches font ressurgir certains motifs propres à
son esthétique de la cruauté, dont le dernier, qui délivre un supplément inédit à son célèbre Nécrophile.