Date de sortie: 09-03-2022
Catégorie: Business et économie
Editeur: L'artilleur
ISBN: 978-2810011100
Au terme de la COP 26 qui s'est tenue à Glasgow, l'Inde et la Chine, deux des principaux émetteurs de CO2, ont refusé de renoncer au pétrole et au charbon. L'auteur, spécialiste de l'environnement et des transports, analyse les conséquences de cette décision pour l'Europe et la France.
Il est difficile de croire qu'un organisme international officiel mente effrontément. C'est pourtant ce que fait le GIEC, émanation des Nations-Unies censées représenter l'intérêt de l'Humanité. Il l'a fait lorsqu'il a déclaré en 2011, dans un rapport fondateur, que l'humanité pourrait se passer des énergies fossiles en 2050, alors que toutes les projections officielles montrent que les éoliennes et les panneaux photovoltaïques ne pourront répondre au mieux à cette date qu'à 10% des besoins mondiaux et que les énergies fossiles en représenteront toujours près de 80%. Il faut dire que l'auteur de ce rapport était un écologiste allemand, "Coordinateur international de Greenpeace pour les questions climatiques" et rémunéré par l'industrie photovoltaïque. Pourtant, ce rapport a bouleversé l'économie mondiale en faisant croire qu'il serait possible de se passer à court terme du pétrole, du gaz naturel et du charbon alors que les pays pauvres ne cessent de proclamer qu'ils en ont un besoin impératif pour sortir leurs populations de la misère, comme nos pays l'ont fait autrefois. Un discours écologiste faussé empêche donc des centaines de millions de personnes d'accéder au développement. D'autres mensonges, tout aussi grossiers, concernent l'évolution de la température terrestre, la montée supposée des eaux, la survie de la faune et de la flore, etc. Ils sont mis au jour, un par un, dans ce livre. En réalité, les Nations Unies ont été prises en mains depuis trente ans par les grandes ONG écologistes, tout particulièrement par les "Verts" allemands et, malheureusement, les dirigeants français ont cédé devant les absurdités venues d'outre Rhin. Il est temps que le pays de Descartes porte à nouveau la voix de la raison face à un monde qui l'a perdue et qui désespère.