Depuis un demi-siècle, les connaisseurs de G. Le Rouge tiennent Le prisonnier de la planète Mars (et sa suite, La guerre des Vampires) pour son chef-d'oeuvre. C'est peut-être aussi le plus bizarre de tous les romans inspirés par la planète rouge. Grâce à l'énergie psychique dégagée par plusieurs milliers de fakirs rassemblés dans un monastère de l'Inde, Robert Darvel est projeté sur Mars. Il y découvre une vérité interplanétaire: la race la plus civilisée est la plus cruelle. Sur cette planète hallucinée, où la vie est un cauchemar à peine interrompu par le jour, les humains servent de cheptel à leurs maîtres, les vampires. Lesquels rendent le même service aux plus raffinés et aristocratiques d'entre eux: des pieuvres volantes, géniales et invisibles. Mais les Invisibles eux -mêmes tremblent devant le mystère caché par la montagne de cristal. Un mystère que Robert Darvel a bien l'intention de découvrir...