"Expérience intérieure", paradoxalement nommée, puis-qu'elle culmine dans une fusion de l'intérieur et de l'extérieur, du sujet et de l'objet, l'inconnu comme "objet" communiquant en elle avec un "sujet" abandonné au non-savoir, Bataille en décrit ainsi le mouvement : "c'est jouer l'homme ivre, titubant, qui, de fil en aiguille, prend sa bougie pour lui-même, la souffle, et criant de peur, à la fin, se prend pour la nuit".