Si l'« intelligence collective » se définit comme la capacité de s'adapter à son environnement et d'en tirer profit pour en faire bénéficier la collectivité, les dernières recherches scientifiques prouvent sans conteste que le règne végétal en est pourvu. Cette « neurobiologie végétale » qui n'ose pas encore être ainsi nommée, dans la mesure où les plantes ne possèdent ni neurones ni cerveau, est désormais un domaine de recherche qui touche autant celui de la physique quantique que celui des neurosciences.
Dans cet ouvrage, Cleve Backster nous explique le fonctionnement de la « perception primaire » des plantes, cette relation presque affective, cette « énergie pensive » fondée sur des sentiments et des émotions comme l'affection, la bienveillance, l'amour inconditionnel, la beauté et l'harmonie. Il démontre que tout le vivant, incluant l'homme, est relié d'une façon intime et immédiate à la matrice de l'univers.
« Ce livre engage le monde universitaire à une profonde réflexion, en particulier les chercheurs en biologie, en médecine et autres sciences du vivant. Puisse la science rejoindre enfin cette conscience qui l'a enfantée et qu'elle a ignorée pour le plus grand malheur de l'humanité. » Jacques COLLIN
Engagé en 1948 par la CIA comme spécialiste de l'hypnose, CLEVE BACKSTER y a developpé l'usage du polygraphe (détecteur de mensonges). Un jour de 1966, il s'amusa à tester une plante en y branchant un polygraphe, avec l'intention de brûler une feuille. À sa grande surprise, la plante ne réagit pas au moment de l'acte, mais au moment où il avait eu l'intention de le faire. La plante avait lu dans sa pensée !
Pendant plus de quarante ans, Cleve Backster ne cessa d'étudier la « perception primaire » des plantes sur un plan rigoureusement scientifique.