La course auto de Formule Un et le Terrorisme International, à priori, ça ne va pas bien ensemble. J'avais été engagé par un Emir pétrolier pour piloter un de ses monstres et - à ce que je croyais, du moins - pour gagner des Grands Prix. Eh bien, ça n'était pas ça du tout. Et il ne fallut pas moins d'une arme à feu et d'un gars qui savait s'en servir pour je comprenne enfin que je n'étais pas là pour jouer les champions.