Paul Barril, "Guerres secrètes à l'Elysée (1981-1995)"
Un conseiller de François Mitterrand qui se suicide à l'Élysée sans que personne ait rien entendu.
Un ministre de la Défense qui, au téléphone, menace de mort un officier de gendarmerie.
Des centaines d'écoutes téléphoniques illégales, lancées parce qu'un écrivain menace les secrets du chef de l'État.
D'illustres journalistes manipulés comme à plaisir ou se prêtant aux manoeuvres du pouvoir.
Décès suspects, espionnage de milliers de citoyens, corruption, tel est le bilan de la "police politique" qui s'était clandestinement mise en place à l'Élysée durant les deux septennats de François Mitterrand. Ce n'est pas l'effet d'une bombe que cet ouvrage va produire, mais celui d'une véritable explosion en chaîne.
Paul Barril, l'ancien responsable du GIGN, ouvre ses dossiers les plus confidentiels, produit des photos et des documents inédits. Les accusations qu'il porte sont d'une gravité extrême et justifient qu'il en appelle, comme hier pour le SAC gaulliste, à la constitution d'une commission d'enquête parlementaire sur les agissements de la "cellule anti-terroriste" de l'Élysée entre 1981 et 1995.
Un ministre de la Défense qui, au téléphone, menace de mort un officier de gendarmerie.
Des centaines d'écoutes téléphoniques illégales, lancées parce qu'un écrivain menace les secrets du chef de l'État.
D'illustres journalistes manipulés comme à plaisir ou se prêtant aux manoeuvres du pouvoir.
Décès suspects, espionnage de milliers de citoyens, corruption, tel est le bilan de la "police politique" qui s'était clandestinement mise en place à l'Élysée durant les deux septennats de François Mitterrand. Ce n'est pas l'effet d'une bombe que cet ouvrage va produire, mais celui d'une véritable explosion en chaîne.
Paul Barril, l'ancien responsable du GIGN, ouvre ses dossiers les plus confidentiels, produit des photos et des documents inédits. Les accusations qu'il porte sont d'une gravité extrême et justifient qu'il en appelle, comme hier pour le SAC gaulliste, à la constitution d'une commission d'enquête parlementaire sur les agissements de la "cellule anti-terroriste" de l'Élysée entre 1981 et 1995.