Cette rue aux logements misérables est habitée principalement par des ouvriers. On y boit beaucoup au café Minche. Le café étant un refuge contre la misère des taudis. La partie la plus sordide est habité par des immigrés italiens, maçons ou terrassiers, victimes de la xénophobie des Français qui sont à peine mieux lotis qu'eux. Les querelles éclatent pour un rien entre les Français et les Italiens, pour des rivalités amoureuses surtout, mais aussi à cause du racisme qui frappait à l'époque les Italiens immigrés que l'on nommait les macaroni.