Avant le tout, il n'y avait rien. Après le tout, qu'y aura-t-il ? Je n'écris pas pour les pierres, pour les anges, pour les ruisseaux, pour les lézards. Je n'écris que pour les hommes. L'homme est la mesure de tout parce qu'il n'y a rien que par lui, à travers lui et pour lui. Les hommes ne peuvent jamais voir, entendre, sentir, penser que ce que pensent, sentent, entendent et voient les hommes. Personne ne sort du monde. Personne ne sort des hommes.