La terre se réchauffe dangereusement et si nous ne faisons rien, demain verra la fin du monde.
En matière de climat, le marché de la peur est florissant. Une peur bien utile, véritable instrument de pouvoir fondé sur la manipulation des émotions au détriment de la raison.
Faut-il en effet rappeler quelques-unes des prophéties émises en 1970 par les premières assises écologistes du » jour de la Terre « , pour l'horizon de l'an 2000 : plus une goutte de pétrole, généralisation des famines sur tout le globe et réduction de l'espérance de vie à 49 ans aux États-Unis. Sans oublier le cri d'alarme lancé en 2008 par Al Gore, prix Nobel de la Paix 2007 et ancien vice-président américain, qui annonçait la disparition totale de la calotte glacière estivale au pôle nord en 2013.
Pour François Gervais, s'il y a une urgence, c'est celle de retrouver nos esprits. scientifiques. Car, contrairement à ce que disent les responsables du GIEC, il est absolument faux d'affirmer qu'il existe un » consensus » des chercheurs autour des questions climatiques.
Ce livre le prouve en détails. Le catastrophisme des modèles virtuels actuels, source de politiques énergétiques dispendieuses dont certaines n'ont de durable que l'affichage, est en revanche une vraie catastrophe annoncée.