Une mort très douce est un court récit autobiographique de Simone de Beauvoir (1964) décrivant des derniers instants qu'elle vécut auprès de sa mère mourante. Ce livre est, d'après Sartre, le meilleur qu'elle a écrit. Françoise de Beauvoir est transportée à l'hôpital à la suite d'une chute dans sa salle de bain. Très rapidement, un cancer de l'intestin grêle est détecté et se révèle foudroyant. Simone de Beauvoir et sa sœur Poupette vont durant trois mois se relayer au chevet de leur mère et assister à ses derniers moments.