Inlassablement, Kléber livrait la même bataille. Il ne savait jamais très bien comment il s'y était engagé. Mais cela ne changeait rien. Sans qu'il pût s'expliquer pourquoi, il se retrouvait toujours seul, à se battre à la fois pour les vivants et pour les morts, pour le visible et l'invisible. A ses yeux, les morts étaient aussi réels que les vivants, surtout s'ils étaient morts injustement. Une étrange fleur poussée sur un absolu désespoir". (Jean-Paul Morel, VSD) "Ca oscille entre Céline et Eluard, Shakespeare et Verlaine. C'est beau. Surréel." (Monique Lefèvre, Télérama) "Un roman fou, un roman-recherche, un roman-douleur, un roman d'amour, un vrai roman." (Jean-Pierre Mogui, Le Figaro Littéraire) " "Cauchemar dans la rue" abolit sans complexe les frontières entre le visible et l'invisible et se présente comme une sorte de conte de fées d'une absolue noirceur, propose d'inquiétantes variations sur le thème éminemment surréaliste de l'amour fou triomphant de la mort." (Bernard Le Saux, L'Evénement du Jeudi) "Une oeuvre de démesure, une folle danse au bord du précipice... Polar mystique, conte de fées noir ? Inclassable comme son auteur." (Bertrand Audusse, Le Monde)."