Quand on s'embarque pour une expédition interstellaire sur un astronef-robot, omniscient et tout-puissant, il est déconseillé de le traiter en personne humaine et de lui appliquer le diminutif trop féminin de « Lulu ». Sait-on jamais quelles illusions romantiques, quelles nostalgies sentimentales peuvent rôder sous la carapace métallique d'un robot qui a trop lu de romans d'amour ?