On oublie souvent que l'anxiété et l'effet du stress affectif font partie de la vie. Pour le cerveau, il n'y a pas de bon ou de mauvais stress. Il y a du stress. Le tout est de savoir le "contenir". Mais voilà, le cerveau de l'enfant n'est pas encore apte à le faire. Les jeunes sont tributaires de leurs émotions et manquent autant de recul que d'expérience pour comprendre ce qu'ils vivent.
Leur cerveau n'a pas encore atteint un degré de maturation suffisant pour être en mesure à la fois d'offrir du sens à ce qui est vécu et d'agir sur leur corps pour réduire la somatisation de leur anxiété....