Logiquement, la langue live, mixte et minoritaire en Lettonie, ne devait pas survivre à l'ère soviétique. Mais beaucoup de Lettons la redécouvrent aujourd'hui, lui redonnent une place de choix dans leur patrimoine cosmopolite. Il n'en faut pas plus pour que ce parler ancestral, proche parent du finnois et de l'estonien, retrouve sa vitalité - et pour qu'une linguiste de là-bas et d'ici saisisse l'occasion.