Lorsque les Éditions Thierry Souccar m'ont contactée pour écrire un ouvrage sur les vaccins, ma première réaction fut de refuser, car je pensais avoir déjà diffusé toutes mes connaissances sur cette question. Mais à bien y réfléchir, ce sujet est sans cesse alimenté par de nouvelles déclarations des "autorités" vaccinales, la sortie de nouveaux vaccins, et la multiplication exponentielle des accidents, ce qui concourt à réactualiser sans cesse la matière.
Étant donné mon entêtement à récidiver sur ce thème, certains pourraient croire que je suis une victime qui veut se venger de ses prédateurs, ce qui n'est absolument pas le cas. Je tiens à signaler que je ne suis pas vaccinée, ayant eu la chance d'avoir une mère très informée sur la santé et un médecin de famille comme il n'en existe presque plus, qui nous ordonnait des infusions ou des bouillons de légumes et jamais de médicaments, puisque, à l'époque, on ne donnait des médicaments qu'aux gens malades. Or, personne n'a jamais été malade dans ma famille qui vivait et mangeait sainement.
Je persiste dans ce combat parce que je constate chaque jour que la plupart des gens -y compris ceux qui vaccinent- sont totalement désinformés au sujet des vaccinations. Ils croient que les microbes les guettent sans répit, que des maladies bénignes sont mortelles, que le vaccin est le seul remède à toutes ces menaces, et que, de toute façon, s'ils ne sont pas utiles, ils ne présentent aucun danger. En outre, au cours des ans et de mes nombreuses conférences, j'ai rencontré des milliers -j'insiste sur le mot "milliers" alors qu'on prétend qu'il y en aurait au maximum quelques centaines- de gens blessés par les vaccins, certains cloués à vie sur des chaises roulantes, qu'on refuse de reconnaître, et qui n'ont qu'un regret : "Si j'avais su !" Aussi, je fais de mon mieux pour que les autres "sachent".