Si Norman Bates avait pu faire breveter ses crimes, il aurait sans doute fait fortune.
Reconstruire le motel Bates pour en faire une attraction touristique, un Disneyland de la terreur, avec des mannequins animés de Norman, de sa mère et d'une jeune femme prenant sa douche, cela pourrait être une excellente entreprise commerciale. Du moins, si une adolescente ne trouvait pas le moyen de se faire poignarder sur le seuil à quelques jours de l'inauguration. Et si ce meurtre n'était pas le premier d'une nouvelle série ? Une chose est claire : Norman est mort. Ce ne peut donc pas être lui. Amoins bien sûr de croire aux revenants...