Stark saisit sa cheville, trouva la main étrangère et porta son étreinte sur le poignet de l'ennemi. Durant ce temps, ils descendaient de plus en plus bas dans les profondeurs océanes. Le bras était long, couvert de fourrure, et les muscles puissants étaient recouverts d'une couche de graisse. La main de Stark glissait sans cesse, mais s'il lâchait s'était sa fin... Ses doigts serraient, déchiraient, griffaient, essayant de faire céder l'autre. La lente descente s'arrêta. La créature tourna la tête, offrant un visage mal défini, des yeux glauques, un nez atrophié depuis des siècles. Le bras libre se tendit non vers la main de Stark mais vers sa nuque. Le jeu était terminé.