Depuis 1830, le Ciel, par sa messagère privilégiée, la Très Sainte Vierge, ne cesse de prévenir l'humanité des dangers qui nous menacent à cause de notre impiété et de notre malice qui ne cessent de s'accroître. Pour compléter encore ces avertissements à l'humanité, et tout spécialement à la France, voici qu'une stigmatisée bretonne, Marie-Julie Jahenny (1850-1941) nous révèle ici des précisions surprenantes :
«L'injustice est partout répandue, mes enfants ; les lois chrétiennes sont violées ; la foi est en butte à une terreur telle qu'il faut un miracle pour la sauver. Tout va encore augmenter dans le mal et marcher comme un fleuve qui n'a plus de limites.» (p. 404)
«De grands malheurs sont sur le point de fondre partout sur la terre. Je me tiens à toutes ses portes, pour en retenir les rigueurs. J'obtiens bien quelque chose ; mais le crime sera puni ; le blasphémateur sera entraîné, sans qu'il se repente, jusqu'au fond de l'abîme ; les calomniateurs seront réduits, sans pardon, sous la foudre du ciel.» (p. 405)
«Il y aura deux jours d'affreuses ténèbres, distincts de ceux annoncés. Le firmament sera violet et rouge, si bas que la touffe des arbres élevés y sera comme perdue. Ces deux jours vous préviendront, comme une preuve authentique de sa bonté, preuve aussi de la descente de la colère de Dieu sur la terre. Jusqu'ici aucune âme ne les a mentionnées, car ce ne sont pas celles dont beaucoup ont eu connaissance.» (p. 300)
«J'enverrai les ténèbres quand presque toutes les parties du monde, et l'Europe entière, se soulèveront les unes contre les autres. Pendant ces ténèbres, il y aura de nombreuses conversions ; beaucoup d'égarés reviendront à moi dans le repentir.» (p. 283)
Mais voici que Dieu aura pitié de son peuple de France et lui enverra un grand Roi... «Il est appelé comme l'homme enveloppé de prodiges ; son manteau (celui de la Vierge) sauvegardera sa noble personne,... ce noble et digne fils de saint Louis.» (p. 349)
«Quand le roi des rois, celui de la terre, viendra ensemencer cette belle paix, ...il ne sera proclamé que par le petit nombre. Il viendra de l'exil, bien en paix au milieu de ceux qui le servent. Toi, mon peuple, tu le défendras contre ces tigres affamés. Il passera à travers leurs forces et leurs légions bien unies, sans blessure, pour planter en France le lys d'un règne saint.» (p. 394)