" Ce qui rend grande l'histoire de Rome, ce n'est pas qu'elle soit faite par des hommes différents de nous, mais qu'elle soit faite par des hommes comme nous. Ces hommes n'avaient rien de surnaturel.
J'ai suivi la trace des mémorialistes romains. Et ce fut comme si la pierre s'animait. Du coup, ces personnages de premier plan, que nos professeurs nous avaient présentés modifiés, perdirent leur immobilité minérale, s'animèrent, se colorèrent de sang, de vins, de faiblesses, de tics, de petites ou grandes manies. En somme, ils devinrent vivants et vrais. "