L'eau, Robert Giraud la laisse à la Seine et au grand ciel au-dessus des toits qui parfois s'ouvrent en deux comme s'il se fendait d'un grand chagrin. Dans le monde de Giraud, on boit parce qu'il faut bien vivre un peu, continuer, se dire quelques mots, se donner quelques regards, afin de se croire moins seuls, moins perdus.
C'est à Robert Doisneau que Robert Giraud a dédié ce livre. Ensemble, ils ont exploré ce Paris inconnu et parfois disparu que vous allez découvrir...