La Guerre du Goût se poursuit plus que jamais avec ce volume. Mais pourquoi l'avoir intitulé Complots ? Le mot n'a pas bonne réputation, et implique toujours un sens négatif. C'est ainsi qu'on parle de « complot contre la sûreté de l'État ». Tel semble être le dessein secret de l'auteur, puisqu'il dit se trouver en état d'urgence. L'étonnant c'est qu'il tient à affirmer que des complots positifs, très différents les uns des autres, convergent tous, à travers le temps, vers une beauté et une liberté maximales. En pleine crise d'identité communautaire, ces singuliers comploteurs, dont l'énergie et la détermination ne font aucun doute, seraient donc des révolutionnaires d'un genre nouveau.