"Brenner était resté dix-neuf ans dans la police. Il en avait vu, des choses. La réalité n'est jamais belle à voir. Un vieux proverbe dit : "si quelqu'un crie au viol, n'appelle jamais les flics, c'est qu'ils sont déjà là." C'était bien vrai, ça alors.
" Simon Brenner a décidé de quitter la police pour devenir ambulancier au Rusa, l'un des deux services d'urgence de Vienne. Mais le crime le poursuit car le chef du centre de transfusion et son amie sont tués d'une même balle, quasiment sous ses yeux. Il y a les gestes qui sauvent. Et les autres ...
Marqué par l'humour sardonique de son héros égaré dans le monde surréaliste des ambulanciers, Vienne la mort est une révélation de la jeune littérature noire autrichienne.