Le château du Foyau, métamorphosé comme beaucoup d'autres par les malheurs du temps en très utilitaire hostellerie, abrite à demeure dans ses nobles lambris une demi-douzaine de messieurs et dames d'âge mûr, mais tous assez guillerets encore pour apprécier les délices de la chère fine, l'agrément de la bonne compagnie et les charmes un peu démonétisés, mais combien subtils, de la vie patricienne.