"Tant le débraillé et le manque de classe d'O. Chiyo dans son kimono que la lourde chaleur dégagée par son corps aux fesses rebondies procuraient à Keizô une sensation de liberté et d'opulence que ne donnent guère les geishas, mais qui lui rappelaient étrangement le corps dénudé des actrices occidentales entraperçu au cinéma. Ainsi, tout ce qu'une geisha traditionnelle, soucieuse avant tout de raffinement désinvolte, aurait appelé un défaut impardonnable, devenait aux yeux de Keizô un des plus fascinants atouts de cette femme."