Beyrouth, 2006. Carrie Mathison, agent de la CIA, se rend à un rendez-vous avec un contact dont le nom de code est Nightingale. C'est un piège dont elle réchappe de justesse. Elle en déduit qu'on a infiltré le quartier général de la CIA. Elle s'en ouvre à son supérieur, ce qui provoque un conflit violent ; Carrie est aussitôt renvoyée à Langley. Carrie est incroyablement douée, mais aussi très fragile : elle souffre de troubles bipolaires qui la handicapent, tout en lui permettant de reconnaître et d'anticiper des schémas comportementaux bien particuliers. Bien sûr, elle doit cacher ses troubles pour protéger sa carrière. Carrie se persuade qu'un complot se trame et veut retourner à Beyrouth à tout prix. Elle demande de l'aide à Saul Berenson, son patron, mentor et confident, celui qui l'a recrutée quand elle était à Princeton. Mais le chef du contre-terrorisme, David Estes, un homme habile et très politique, rejette sa demande. Carrie est hors d'elle et décide de risquer le tout pour le tout en commettant un acte d'insubordination qui lui permet de découvrir une preuve qui relie Nightingale à Abu Nazir, le chef d'Al-Qaïda en Irak. Elle devient obsédée par Abu Nazir et s'embarque dans une poursuite qui va pratiquement la détruire. Le roman Homeland contient les mêmes éléments de suspense et les mêmes retournements qui ont rendu l'adaptation télévisuelle totalement captivante. Le roman plonge les lecteurs encore plus loin dans le monde du contre-terrorisme et de l'espionnage et nous révèle des détails inédits de la vie de Carrie.