" J'ai toujours rêvé de jouer avec un masque. La gloire ne me fait pas peur, elle me terrifie."
Ainsi commencent les confessions du Footballeur masqué.
Pourquoi le masque ?
Parce qu'en France comme en Angleterre, le football professionnel est impitoyable et cruel. Le football ne pardonne rien.

Ni à ceux qui fléchissent.
Ni à ceux qui baissent la garde, sur le terrain ou dans les vestiaires.
Ni à ceux qui parlent.

Rien ne doit filtrer des secrets de vestiaires, des excès en tous genres, des querelles d'égos, des dérives, des scandales, des valises et des dessous- de-table, du pouvoir des agents, du rôle des médias, des escort-girls et des soirées, du poids considérable de réseaux multiples et enchevêtrés, mais souvent antagonistes.

Rien ne doit filtrer des man?uvres obliques, obscures et complexes, mêlant enjeux financiers, luttes d'influences et petits arrangements, qui président
à quelque chose d'aussi simple qu'une composition d'équipe.

Bref, rien ne doit filtrer de ce qu'est vraiment le football professionnel en France, ni de ce qu'est, aujourd'hui, une vie de footballeur : " un personnage ordinaire qui fait quelque chose d'extraordinaire ".

Vous pensiez que le football pro était scruté de toutes parts et en pleine lumière ? Mais l'essentiel reste dans l'ombre, inaccessible.
Et c'est cette part d'ombre que nous révèle le Footballeur masqué.

Il prend des risques, et il le sait.
Car très vite, immanquablement, sa tête sera mise à prix. Et les tacles seront fatals.

Réussir ? Oui mais à quel prix ? A longueur de journée, nous avons tous tendance à gaspiller notre temps et notre énergie pour obtenir ce que nous voulons : nous nous épuisons à courir après le temps pour tenter de le rattraper, nous forçons les autres, plus ou moins ouvertement, pour qu'ils se plient à notre volonté, nous forçons les événements pour que les choses avancent plus vite, nous nous forçons nous-mêmes pour dépasser certaines limites.

Nous croyons ainsi oeuvrer pour notre réussite. Or le plus souvent il n'en est rien : nous déployons des efforts démesurés pour obtenir, la plupart du temps, des résultats médiocres ou frustrants...

Alors comment faire ? Comment atteindre la réussite de vos objectifs sans tout ce gaspillage ? Avec la même clarté, le même dynamisme, la même efficacité qui ont fait le succès de ses conférences, Philippe Morando vous donne, dans cet ouvrage, les moyens de réaliser les objectifs essentiels à votre réussite et à votre épanouissement.

Vous y trouverez de véritables outils qui vous seront d'une aide précieuse pour faire aboutir vos projets dans de bonnes conditions. Vous y découvrirez comment résoudre harmonieusement vos problèmes affectifs, familiaux, professionnels.

Grâce à ces moyens facilement applicables, vous pourrez enfin développer vos capacités à bien vivre et à réussir à tous les niveaux.

Vous disposez d'une prodigieuse capacité de transformation. Il ne vous reste qu'à faire le premier pas !

Présenté comme un personnage sulfureux de la " Mitterrandie ", Roland Dumas ouvre son Journal et son coeur. Pendant presque dix ans, il a été, au côté de François Mitterrand, le personnage-clé de la politique étrangère de la France. Il révèle le dessous des cartes d'une époque où l'Europe a connu de violents soubresauts, entre l'implosion de l'Union soviétique, la chute du mur de Berlin et la réunification allemande. Puis, en tant que président du Conseil constitutionnel, il a eu à connaître bien des secrets de Marianne dont l'éternel séducteur soulève un coin du voile... Le bilan exceptionnel d'une vie au service de l'État a été ensuite quelque peu écorné par des affaires qui ont défrayé la chronique et dont il est sorti blanchi.

Ce livre fourmille d'anecdotes prises dans le feu de l'action mais aussi de réflexions sur l'art de gouverner d'un " monarque " dont il a recueilli les confidences parfois déroutantes... Mais le plus passionnant, ce sont les notes personnelles d'un homme qui ne craint pas de révéler ses doutes, ses cas de conscience, voire ses contradictions. Pour lui, la diplomatie, c'est d'abord et avant tout éviter la guerre dont il a tant souffert, quitte à aller au contact des dictateurs. Les " bien-pensants ", comme il dit, lui reprochent de s'y être brûlé les ailes. Il s'en explique sans langue de bois.