» Article de 14.05.2017 » page 14

Sophie Dabat - Sainte Marie des ombres (T3) L'emprise des dévorantes


Lily la tatoueuse is back, les gars, et ça va saigner sur vos couennes ! Marja Baldursdóttir. Ce crétin m'a collé le nom de Marja Baldursdóttir. En soi, j'ai rien contre, c'est même plutôt flatteur, elle a été la première à tirer la sonnette d'alarme sur la régression de la position féminine dans notre société. Sauf que Ballard l'ignorait complètement. Et quand je le lui ai appris, il m'a informée qu'il s'en battait autant que de son premier slip kangourou, et que si ça ne me plaisait pas, j'avais qu'à me démerder seule. Du coup, j'ai fermé ma gueule et empoché les papiers, l'appartement et le boulot qu'il m'a trouvés sans faire ma difficile. Je suis Marja Baldursdóttir, une trentenaire aux cheveux blonds, qui roule avec une moto bien cabossée, dotée d'un side-car pour transporter sa fille. Eh oui, sa fille... Ma mission : me tenir à carreau. Ça ne pouvait pas bien se terminer.



Sophie Dabat - Sainte Marie des ombres (T2) L'enfant des ombres

« J'ai gagné. J'ai survécu. Le sang dans ma bouche a goût de victoire. Allez tous vous faire foutre. » Marie a besoin d'air, et de temps, pour panser ses blessures, et la route offre ce dont elle a tant manqué : tranquillité, liberté et solitude. Mais on peut aussi y faire de mauvaises rencontres... Contrainte et forcée, Marie va devoir renouer avec ses origines nomades. Fera-t-elle le choix de plonger encore plus profondément dans sa propre histoire et remuer le couteau dans la plaie de ses traumatismes ? Elle ne pourra compter que sur elle-même, et Cullan, pour surmonter l'épreuve du sang et des ombres. À moins qu'elle pactise avec ceux qu'elle a cru pouvoir repousser dans les recoins obscurs de son passé.



Sophie Dabat - Sainte Marie des ombres (T1) La brûlure de la nuit


« Les Dévorantes. C'est comme ça que je les ai appelées. Elles ont failli nous avoir, Cullan et moi. À nous deux, le monde entier peut aller se faire foutre, on est de taille à l'affronter. » Depuis plus de vingt ans, les Ombres hantent le monde et dévorent tout être vivant à leur portée. Hormis une petite fille, personne n'a jamais survécu à leur poison. Mais la fillette miraculée est devenue un rat de laboratoire, avant de disparaître dans la nature. Lily Turner est désormais une femme presque comme les autres. Tatoueuse, elle partage sa vie entre son compagnon, sa meilleure amie et son chien, rescapé des Ombres comme elle. Nul ne sait qu'elle était autrefois surnommée Sainte Marie des Ombres. Mais une vague de meurtres risque fort de remettre cet équilibre en jeu, et forcer Lily à faire des choix difficiles, tant pour se protéger que pour sauver ceux qu'elle aime...



Coulon David - Le village des ténèbres


Un flic, son amie, et un commercial sont faits prisonniers dans un village où ne vivent que des femmes. Les protagonistes chercheront à s'échapper et à percer le mystère de ce bourg perdu dans la forêt. Ils ne sont pas les seuls captifs...



Inishowen - Joseph O'Connor


Inishowen... Un nom de whisky (pardon, de whiskey - nous sommes en Irlande), mais aussi celui d'un port minuscule, à la pointe nord de la verte Erin : le bout du monde, si l'on veut - ou la fin de tout. Aitken est flic à Dublin, et plutôt mal noté. En son bel âge il a été l'un des seuls à lutter contre les truands de la mafia locale, mais depuis la mort de son fils, renversé par une auto (accident ? meurtre déguisé ?), il n'est plus que l'ombre de lui-même et se requinque tant bien que mal au comptoir des pubs. Ellen est professeur à New York, femme d'un chirurgien en vue qui passe pour la coqueluche de ces dames. Elle correspond de loin en loin avec sa mère, restée en Irlande. Un jour elle apprend qu'elle est atteinte d'un cancer qui ne sera peut-être pas facile à soigner. Sans rien dire à personne, ni à son mari ni à ses deux grands enfants, elle part un beau matin, prend un billet d'avion pour l'Irlande, disparaît. Une rue de Dublin. Une femme dans la cinquantaine a un malaise sur le trottoir, on appelle la police. Un inspecteur la dirige sur l'hôpital, prend ensuite de ses nouvelles dans l'hôtel où elle est descendue. Elle, c'est Ellen. Lui, c'est Aitken. Ils se plaisent, se racontent leur vie, se mentent, couchent une nuit dans le même lit sans se toucher. Tristan et Iseut pas morts. De confidence en confidence, elle lui apprend qu'elle compte rejoindre sa mère tout au nord de l'île, à Inishowen : le petit village, justement, où il a enterré son fils... Ils iront donc ensemble là-bas, souhaitant sans doute l'un et l'autre oublier tout, recommencer l'impossible. Mais leur vie d'avant les poursuit. La famille new-yorkaise d'Ellen a retrouvé sa piste. Quant aux truands qui ont un compte à régler avec Aitken, ils se félicitent par avance de le coincer là-haut, dans une solitude propice à tous les mauvais coups... Les deux amants partent sur les mauvais chemins de l'île, tout à la magie des paysages qu'ils avaient perdu l'envie de regarder, et sans trop se douter des épreuves qui les attendent. Ayant pris goût l'un à l'autre, ils retrouvent aussi, ou croient retrouver, le goût de la vie. Est-ce bien raisonnable ? O'Connor a toujours la main vache quand il lui faut épingler l'horreur ordinaire du monde : les snobinards new-yorkais, mais surtout ses compatriotes habitués à mariner dans un mélange d'eau bénite et de sang. Il excelle comme peu d'autres à faire sentir au lecteur le goût âcre de l'Irlande, rouge de violence et noire de misère ; ses beautés aussi, comme menacées par l'imminence de quelque catastrophe. Mais il est surtout grand, et émouvant, lorsqu'il évoque cette autre catastrophe - la Mort - qui étend sa grande ombre sur le lit de l'Amour, où Tristan et Iseut réaprennent, entre impudeur et timidité, les gestes de la tendresse et ceux du plaisir. La critique anglo-saxonne en tout cas a salué Inishowen (2000) comme son meilleur livre : peut-être le plus sensible - et le plus ambitieux. « Peu d'écrivains savent évoquer comme lui l'amertume et la rage de vivre peut-être, l'angoisse et la colère aussi... Le résultat : un véritable relevé topographique du coeur humain. » HERALD TRIBUNE Tristan et Iseut à la mode irlandaise d'aujourd'hui. Elle habite New York et vient d'apprendre qu'elle a un cancer. Lui est flic à Dublin et commence à se fatiguer d'asticoter la mafia locale - qui a résolu, c'est sûr, de lui régler son compte. Tous deux vont se retrouver tout au nord de l'Irlande, dans le petit port d'Inishowen : un lieu de beauté et de paix... où le sang coule aussi bien qu'ailleurs. La presse anglo-saxonne a applaudi la sortie de ce roman, qu'elle met sur le même pied que Desperados - l'autre maître-livre de Joe O'Connor.



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