Laurin Sophie - En route vers nowhere
Lu par : Catherine Lavoie
Été 1996. Sara et Sébastien, dix ans, se rencontrent à la cantine du camping où ils passent leurs vacances. Une slush lime-framboise bleue et un gel de cerveau plus tard, une amitié naît. Plusieurs années après, en quatrième secondaire, ils se retrouvent par hasard à la même école et renouent avec leur complicité d’enfance.
Été 2007. Sara et Sébastien partent pour un road trip au volant de Lucette, une voiture délabrée qui ferait le bonheur d’un ferrailleur. Au cours des onze dernières années, leur relation d’amitié a flirté avec l’ambiguïté et les malentendus, au grand regret de leurs familles et de leurs amis, convaincus qu’ils sont faits l’un pour l’autre. En quête d’aventure, les deux jeunes adultes ignorent encore que bien des surprises les attendent au détour du chemin.
En route vers nowhere est un roman d’amitié nourri aux poutines de casse-croûte et arrosé de café imbuvable de station-service. Une épopée romantique malgré les odeurs de bière tablette et de corps qui transpirent sous la canicule d’été. Une histoire du temps des compilations gravées sur CD et des cellulaires pas très intelligents.
Été 1996. Sara et Sébastien, dix ans, se rencontrent à la cantine du camping où ils passent leurs vacances. Une slush lime-framboise bleue et un gel de cerveau plus tard, une amitié naît. Plusieurs années après, en quatrième secondaire, ils se retrouvent par hasard à la même école et renouent avec leur complicité d’enfance.
Été 2007. Sara et Sébastien partent pour un road trip au volant de Lucette, une voiture délabrée qui ferait le bonheur d’un ferrailleur. Au cours des onze dernières années, leur relation d’amitié a flirté avec l’ambiguïté et les malentendus, au grand regret de leurs familles et de leurs amis, convaincus qu’ils sont faits l’un pour l’autre. En quête d’aventure, les deux jeunes adultes ignorent encore que bien des surprises les attendent au détour du chemin.
En route vers nowhere est un roman d’amitié nourri aux poutines de casse-croûte et arrosé de café imbuvable de station-service. Une épopée romantique malgré les odeurs de bière tablette et de corps qui transpirent sous la canicule d’été. Une histoire du temps des compilations gravées sur CD et des cellulaires pas très intelligents.