Poètes en partance - De Charles Baudelaire à Henri Michaux
Auteur : Collectif
Categorie : Litterature classique - Poesie
Date de parution : 2 mars 2011
Editeur : Gallimard
ISBN : 978-2070441488
Nombre de pages : 160 pages
Parce que le vrai voyage commence en poésie avec Les Fleurs du Mal, voici 42 poètes en partance, du coeur du XIXème siècle au coeur du siècle dernier, soit de Charles Baudelaire à Henri Michaux. Non pas une compilation des plus baroudeurs, comme on collectionnerait les pages d’un passeport surchargé de visas, mais un recueil de ceux qui tracent leur destin en marge des balises, passent souvent les bornes, et bouleversent notre vision du monde. Tous n’écrivent pas sur le départ, mais tous sont en partance. Bateaux, trains, vélos, avions, scooters, chevaux, pédalos et autres moyens de franchir les frontières ne sont pas les supplétifs ni les vecteurs de ces pages. Juste une façon d’éprouver le voyage, de suivre l’impulsion première mais jamais le mouvement, si ce n’est celui du coeur qui change de braquet et d’heure pour découvrir l’ailleurs. Là-bas a goût d’aube sans fin, d’arc-en-ciel à saisir, de lointains à prendre. Ou à laisser. Car rien n’est dit et nul ne vient trop tard.
Auteur : Collectif
Categorie : Litterature classique - Poesie
Date de parution : 2 mars 2011
Editeur : Gallimard
ISBN : 978-2070441488
Nombre de pages : 160 pages
Parce que le vrai voyage commence en poésie avec Les Fleurs du Mal, voici 42 poètes en partance, du coeur du XIXème siècle au coeur du siècle dernier, soit de Charles Baudelaire à Henri Michaux. Non pas une compilation des plus baroudeurs, comme on collectionnerait les pages d’un passeport surchargé de visas, mais un recueil de ceux qui tracent leur destin en marge des balises, passent souvent les bornes, et bouleversent notre vision du monde. Tous n’écrivent pas sur le départ, mais tous sont en partance. Bateaux, trains, vélos, avions, scooters, chevaux, pédalos et autres moyens de franchir les frontières ne sont pas les supplétifs ni les vecteurs de ces pages. Juste une façon d’éprouver le voyage, de suivre l’impulsion première mais jamais le mouvement, si ce n’est celui du coeur qui change de braquet et d’heure pour découvrir l’ailleurs. Là-bas a goût d’aube sans fin, d’arc-en-ciel à saisir, de lointains à prendre. Ou à laisser. Car rien n’est dit et nul ne vient trop tard.