Arielle est morte, chez elle, assassinée. J'étais étonné de ne plus la voir dans son jardin et surtout ça me manquait. Elle était si mignonne, si excitante. J'aimais la regarder là, sous mes yeux. Je ne comprends pas qu'on ait pu lui faire du mal. Elle ne pouvait pas avoir d'ennemis. Elle était comme un rayon de soleil, elle n'est plus qu'un corps sans vie. Je souffre de ce grand vide qu'elle laisse. Qui a pu tuer celle dont j'étais devenu amoureux ?