L'art est parfois pervers, surtout quand quelqu'un décide de changer les règles et pense que la peau humaine est le subjectile parfait. Des jeunes femmes au teint pâle sont retrouvées, tuées, le dos entièrement écorché. Anatolia, une flic française, retrouve la trace du criminel. Mais, entre Sang et encre, le diable avait bien des raisons de s'en moquer, s'il n'y avait pas eu cette autre fille que l'on prenait pour un ange.
De la Normandie à New-York, le suspens et l'angoisse s'installent jusqu'au dénouement. diabolique !