» Un monde de paysans durs au mal, où les seules distractions sont la chasse et la distillation clandestine de whisky. Un monde qui serait simple, et même hospitalier, s'il n'y avait Angelina, belle comme le diable, les formes épanouies sous une méchante robe de coton, un défi permanent au fond des yeux. Lee, séducteur impénitent, désœuvré et veule, n'y résiste pas. Et la violence éclate avec la soudaineté d'un orage trop longtemps contenu. C'est le premier roman de l'auteur de Fantasia chez les ploucs. Williams y fait déjà preuve d'une maîtrise de vieux routier. Tension, sensualité, humour, tout est là. » Bertrand Audusse, Le Monde