Rubiao, modeste professeur hérite une fortune du philosophe Quincas Borba, sous réserve de prendre soins de son chien. Mais avec la richesse il hérite de la folie de son ami.
Sa fortune se disperse dans l’ostentation et l’entretien de parasites mais elle sert surtout de capital aux spéculations d’un habile arriviste marié à la belle Sofia.
L’amour et la folie surgissent ici romantiquement la main dans la main, cependant la basse continue du roman est l’ambition économique dont le héros devient l’instrument.
Le charme de Machado de Assis tient essentiellement à sa façon de suggérer les choses les plus terribles de la manière la plus candide ou d’établir un contraste entre la normalité sociale des choses et leur anormalité essentielle