À la suite d'un chagrin d'amour, Aldo se fait affecter par le gouvernement de la principauté d'Orsenna dans une forteresse sur le front des Syrtes.
Il est là pour observer l'ennemi de toujours, replié sur le rivage d'en face, le Farghestan.
Aldo rêve de franchir la frontière, y parvient, aidé par une patricienne, Vanessa Aldobrandi dont la famille est liée au pays ennemi.
Cette aide inattendue provoquera les hostilités...
Pour Le Rivage des Syrtes, Julien Gracq obtint en 1951 le prix Goncourt, qu'il refusa.