« La vérité du Soleil des morts est telle qu'elle déborde le cadre de la littérature », dit Alexandre Soljénitsyne.
Écrit en 1923, ce texte relate le dernier séjour des Chméliov en Crimée, lieu de vacances qui fut jadis paradisiaque. Mais la terreur rouge, suivie d'une famine dévastatrice, en a fait le théâtre d'une tragédie apocalyptique.
Cette édition ne comprend pas la préface de Thomas Mann, ni la postface de René Guerra